NIEL Colin
Lun 17 Mai 2021 - 17:46
Lu par Valou
Martin est garde au parc national des Pyrénées. Il travaille notamment au suivi des derniers ours. Mais depuis un an et demi, on n’a plus trouvé la moindre trace de Cannellito, le seul plantigrade avec un peu de sang pyrénéen qui fréquentait encore ces forêts, pas d’empreinte de tout l’hiver, aucun poil sur les centaines d’arbres observés. Martin en est chaque jour plus convaincu : les chasseurs auront eu la peau de l’animal. L’histoire des hommes, n’est-ce pas celle du massacre de la faune sauvage ? Alors, lorsqu’il tombe sur un cliché montrant une jeune femme devant la dépouille d’un lion, arc de chasse en main, il est déterminé à la retrouver et la livrer en pâture à l’opinion publique. Même si d’elle, il ne connaît qu’un pseudonyme sur les réseaux sociaux : Leg Holas. Et rien de ce qui s’est joué, quelques semaines plus tôt, en Afrique.
Entre chasse au fauve et chasse à l’homme, vallée d’Aspe dans les Pyrénées enneigées et désert du Kaokoland en Namibie, Colin Niel tisse une intrigue cruelle où aucun chasseur n’est jamais sûr de sa proie.
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j'ai bien aimé lire ce roman, même si parfois le texte me paraissait un peu long, certaines descriptions, certaines pensées de Martin, un des personnages principaux, m'ont un peu ennuyée.
Ce que j'ai bien aimé, c'est que, anti chasse personnellement, j'ai quand même compris certains intérêts de celle-ci, à certains endroits, même si je le déplore.
En bref, Martin un garde au parc National des Pyrénées se fait du souci pour le dernier ours avec un peu de sang pyrénéen dans les veines. Quand il tombe sur la photo d'une femme, posant devant la dépouille d'un lion, arc de chasse en main, il est déterminé à la retrouver et la livrer en pâture à l'opinion publique. Mais il ne sait rien de ce qui s'est passé des semaines plus tôt en Afrique.
Commence alors le récit d'un côté de la chasse au fauve, en Afrique, et de la chasse à l'homme (femme) en France.
En lisant ce récit, cela m'a fait réfléchir à mes opinions, même si je ne vais pas en changer, je peux comprendre certaines décisions prises par certains acteurs que ce soit de chez nous, ou en Afrique
Martin est garde au parc national des Pyrénées. Il travaille notamment au suivi des derniers ours. Mais depuis un an et demi, on n’a plus trouvé la moindre trace de Cannellito, le seul plantigrade avec un peu de sang pyrénéen qui fréquentait encore ces forêts, pas d’empreinte de tout l’hiver, aucun poil sur les centaines d’arbres observés. Martin en est chaque jour plus convaincu : les chasseurs auront eu la peau de l’animal. L’histoire des hommes, n’est-ce pas celle du massacre de la faune sauvage ? Alors, lorsqu’il tombe sur un cliché montrant une jeune femme devant la dépouille d’un lion, arc de chasse en main, il est déterminé à la retrouver et la livrer en pâture à l’opinion publique. Même si d’elle, il ne connaît qu’un pseudonyme sur les réseaux sociaux : Leg Holas. Et rien de ce qui s’est joué, quelques semaines plus tôt, en Afrique.
Entre chasse au fauve et chasse à l’homme, vallée d’Aspe dans les Pyrénées enneigées et désert du Kaokoland en Namibie, Colin Niel tisse une intrigue cruelle où aucun chasseur n’est jamais sûr de sa proie.
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j'ai bien aimé lire ce roman, même si parfois le texte me paraissait un peu long, certaines descriptions, certaines pensées de Martin, un des personnages principaux, m'ont un peu ennuyée.
Ce que j'ai bien aimé, c'est que, anti chasse personnellement, j'ai quand même compris certains intérêts de celle-ci, à certains endroits, même si je le déplore.
En bref, Martin un garde au parc National des Pyrénées se fait du souci pour le dernier ours avec un peu de sang pyrénéen dans les veines. Quand il tombe sur la photo d'une femme, posant devant la dépouille d'un lion, arc de chasse en main, il est déterminé à la retrouver et la livrer en pâture à l'opinion publique. Mais il ne sait rien de ce qui s'est passé des semaines plus tôt en Afrique.
Commence alors le récit d'un côté de la chasse au fauve, en Afrique, et de la chasse à l'homme (femme) en France.
En lisant ce récit, cela m'a fait réfléchir à mes opinions, même si je ne vais pas en changer, je peux comprendre certaines décisions prises par certains acteurs que ce soit de chez nous, ou en Afrique
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