GABORIEAU Emile
Mar 18 Mai 2021 - 11:31
Lu par Carotte
J'ai lu, avec grand plaisir
Dans la nuit du 22 au 23 juin 1871, un incendie se déclare au château de Valpinson, propriété du comte de Claudieuse. Un témoin, un idiot du village surnommé Cocoleu, accuse Jacques de Boiscoran. C'est bien connu dans les environs, un différend sur des territoires de chasse opposait l'accusé au comte de Claudieuse. En outre, toutes les circonstances contribuent à l'accabler. Sa famille, désespérée, fait appel à l'enquêteur Manuel Forgat qui saura démêler l'affaire.
J'ai lu, avec grand plaisir
Dans la nuit du 22 au 23 juin 1871, un incendie se déclare au château de Valpinson, propriété du comte de Claudieuse. Un témoin, un idiot du village surnommé Cocoleu, accuse Jacques de Boiscoran. C'est bien connu dans les environs, un différend sur des territoires de chasse opposait l'accusé au comte de Claudieuse. En outre, toutes les circonstances contribuent à l'accabler. Sa famille, désespérée, fait appel à l'enquêteur Manuel Forgat qui saura démêler l'affaire.
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"L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines " (Françis Bacon).
Re: GABORIEAU Emile
Mar 18 Mai 2021 - 11:34
Lu par Carotte
Monsieur Godeuil a un voisin, monsieur Méchinet, aux mœurs étranges : il est tantôt élégamment habillé, tantôt vêtu de frusques ; parfois il découche et d'autres fois il part de chez lui au lever du jour ; et il a avec cela une femme aimante, parfaitement complice de ses excentricités ! Ce qui ne laisse pas d'étonner monsieur Godeuil.
À la faveur d'un coup de main médical et nocturne, les deux hommes se lient peu à peu d'amitiés, tant et si bien que Méchinet finit par proposer à Godeuil de l'accompagner là où son travail l'appelle subitement.
Ce dernier découvre alors que son voisin n'est autre qu'un agent de la Sûreté ! Et les voilà tous deux embarqués dans une enquête sur l'assassinat d'un vieux rentier, où tout semble indiquer que le coupable n'est autre que le neveu de la victime, en grand besoin d'argent.
Les deux compères ne l'entendent pourtant pas de cette oreille et vont tenter de donner raison à leur intime conviction.
Émile Gaboriau est reconnu comme étant le père de la littérature policière, ayant notamment inspiré à Conan Doyle son Sherlock Holmes. Le Petit vieux des Batignolles est l'un des derniers textes de cet écrivain disparu trop tôt.
Monsieur Godeuil a un voisin, monsieur Méchinet, aux mœurs étranges : il est tantôt élégamment habillé, tantôt vêtu de frusques ; parfois il découche et d'autres fois il part de chez lui au lever du jour ; et il a avec cela une femme aimante, parfaitement complice de ses excentricités ! Ce qui ne laisse pas d'étonner monsieur Godeuil.
À la faveur d'un coup de main médical et nocturne, les deux hommes se lient peu à peu d'amitiés, tant et si bien que Méchinet finit par proposer à Godeuil de l'accompagner là où son travail l'appelle subitement.
Ce dernier découvre alors que son voisin n'est autre qu'un agent de la Sûreté ! Et les voilà tous deux embarqués dans une enquête sur l'assassinat d'un vieux rentier, où tout semble indiquer que le coupable n'est autre que le neveu de la victime, en grand besoin d'argent.
Les deux compères ne l'entendent pourtant pas de cette oreille et vont tenter de donner raison à leur intime conviction.
Émile Gaboriau est reconnu comme étant le père de la littérature policière, ayant notamment inspiré à Conan Doyle son Sherlock Holmes. Le Petit vieux des Batignolles est l'un des derniers textes de cet écrivain disparu trop tôt.
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"L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines " (Françis Bacon).
Re: GABORIEAU Emile
Ven 21 Mai 2021 - 11:39
Lu par Carotte
Premier roman policier d'Émile Gaboriau, il est directement inspiré d'une affaire qui défraya la chronique en 1865.
Une femme d’une cinquantaine d’années, la veuve Lerouge, est retrouvée sauvagement assassinée dans sa maison. Tous les indices conduisent à un jeune homme de bonne famille : les preuves matérielles sont accablantes.
L’assassin paraît tout désigné et l’affaire bouclée, quand le doute s’immisce dans l’esprit de l’un des enquêteurs, le père Tabaret.
Certains faits le poussent à envisager le meurtre sous un autre angle, et ses découvertes réserveront bien des surprises aux lecteurs.
J'ai beaucoup apprécié.
Premier roman policier d'Émile Gaboriau, il est directement inspiré d'une affaire qui défraya la chronique en 1865.
Une femme d’une cinquantaine d’années, la veuve Lerouge, est retrouvée sauvagement assassinée dans sa maison. Tous les indices conduisent à un jeune homme de bonne famille : les preuves matérielles sont accablantes.
L’assassin paraît tout désigné et l’affaire bouclée, quand le doute s’immisce dans l’esprit de l’un des enquêteurs, le père Tabaret.
Certains faits le poussent à envisager le meurtre sous un autre angle, et ses découvertes réserveront bien des surprises aux lecteurs.
J'ai beaucoup apprécié.
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